Le Plan Jaune : ou comment la mise à mort de la république a été pensée de 1930 à 1940
La défaite de 1940 est incompréhensible si l’on fait abstraction de la trahison militaire : en effet la traversée du double obstacle de la forêt des Ardennes et de la Meuse par des divisions blindées est une aberration contraire aux bases les plus élémentaires de la stratégie ce que confirme de nombreux généraux français et allemands.
Or en 1930, quelques rares généraux français affirment pourtant le contraire alors que l’armée allemande limitée en hommes et en armes par le traité de Versailles ne représente aucune menace. Ainsi le général Weygand doute de la capacité de résistance dans la durée – au-delà de quelques jours – de la couverture française face aux Ardennes. En 1932, Adolf Hitler reprend cette idée saugrenue : il est assuré d’une victoire facile sur la France et lance cette excellente boutade :
« La paix sera signée avant même que les hostilités aient éclaté. »
En faisant abstraction de la trahison militaire, la défaite est incompréhensible et le républicain invoque un « coup du sort », une « malédiction », une « punition divine », les Allemands un « miracle » !
Nombreuses photographies et cartes
127 pages en couleur
Disponible chez l'auteur au prix Amazon (voir le lien ci-dessous) franco de port (comptez un délai d'une semaine et demie pour la réception) paiement par paypal à cette adresse mai1940gillet@yahoo.fr ou par chèque à envoyer à Arnaud Gillet 58, rue du neuf-bourg 51490 Bétheniville. Veuillez signalez le transfert à l'auteur à cette adresse mail : mai1940gillet@yahoo.fr.
Table des matières
Table des matieres13 (452.24 Ko)
Livre relié, en couverture dure
Ajouter un commentaire