Les Traitres de Sedan, opération du 13 mai 1940
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L’histoire de la campagne de France de mai 1940 contient beaucoup d’énigmes, de mystères et même de graves contradictions. Si bien que certains soldats, très tôt, ont osé et dénoncé une possible trahison d’une partie du haut commandement en vue de renverser la république à la faveur d’un armistice prématuré. En approfondissant nos recherches pendant ces longues années et au fur et à mesure de nos stupéfiantes découvertes, le doute s’est incrusté pour devenir une certitude…
En effet à Sedan à coté des troupes régulières françaises et allemandes que nous localisons mètre par mètre et suivons minute par minute, nous découvrons, approfondissons et mettons en évidence une troisième force hostile aux soldats français avec l’aide, excusez du peu, de quelques chars ! Nos premiers réflexes se tournent sur des commandos allemands qui se sont infiltrés au cœur des lignes françaises et qui se sont emparés de véhicules blindés. Or malgré nos milliers de documents allemands analysés, rien ne transpirent sur une telle opération secrète à Sedan alors que celle sur Niwi ou du fort d’Eben-Emael en Belgique jouissent d’une excellente publicité. Pourquoi alors un tel silence sur Sedan ?
En fait ce secret cache une réalité inavouable : un véritable tabou, une opération commando non pas allemande mais française ! Le silence radio est complet, absolu, inviolable… Qui peut avouer avoir tiré sur ses propres compatriotes… L’armée française de Vichy lave son linge sale, détruit les archives gênantes, demande aux officiers de réécrire leur rapport afin de cacher ce lourd secret de famille !
Ainsi à l’alerte parachutiste des soldats se sont regroupés en « sections spéciales » et ont nettoyé les lignes françaises le long de la Meuse afin d’ouvrir la porte au char allemand. Mais quelle est la motivation de ces Français ? S’agit-il de communistes en soutien au pacte germano-soviétique ? S’agit-il de cagoulards nazis ? Ou bien, comme nous le soutenons dans cette étude, de « patriotes antibolchéviques » craignant une libération de la France par l’armée rouge si une longue guerre de type 14-18 éclatait entre la France et l’Allemagne. Une guerre courte de deux semaines maximum est alors envisagée en prélude au renversement de l’instable IIIe république : l’armée allemande, sous menace d’une contre-attaque française débouchant de la ligne Maginot, est invitée à suivre la route balisée vers Paris en soutien du coup d’état. Le général Guderian en décidera autrement au grand dam d’Adolf Hitler et du maréchal Pétain…
Seule une « trahison militaire » permet en effet de donner du sens à cette troisième force et à toute cette campagne de France de mai 1940. Les faits sont là, implacables et terribles. Faut-il se taire et laisser la plaie cicatrisée en l’état ? Quatre-vingts ans après les faits, la IIIe république et les acteurs du drame sont désormais des souvenirs d’un temps révolu. La nouvelle génération peut désormais regarder son passé avec sérénité loin des passions et des pressions d’antan.
Couverture : La croisade contre la Russie sera menée par l’Allemagne et les « patriotes antibolchéviques » devront porter cet uniforme, mais toujours sous la bannière tricolore
« Honneur et Patrie »…
Format : A4 (21 cm x 29,7 cm)
Pages intérieures : 136 pages couleur
Nombreuses photographies et cartes en couleur
Reliure : dos carré collé, couverture souple en couleur
Prix de vente : 40 euros
Année de publication : 3e trimestre 2021
La page de couverture ci-dessous a été améliorée...
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